Pierre a écrit:Certains choisissent de prendre une voie hors de l'école publique républicaine : ils en ont le droit, mais ils devraient assumer ce choix en le finançant intégralement, sans bénéficier de traitements de faveur. Mais la démagogie politique pour s'attirer les faveurs de quelques milieux régionalistes fait que...
Les Calandretas sont des écoles privées, et comme on dit "A écoles privées, financement privés": la participation publique devant normalement se limiter à la mise à disposition des enseignants (pour les écoles sous contrats). Or je crois savoir que sans percevoir de subvention directe de la mairie (mais à vérifier quand même), la Calandreta de Pau bénéficie de la mise à disposition de ses locaux par la mairie. Au nom de quoi ?
Arthur a écrit:La plupart des établissements privés reçoivent quelques subsides.
Arthur a écrit:D'un autre côté, il faut bien que ces enfant soient scolarisés, et s'ils l'étaient dans le public, ils auraient un coût. Je pense que ce coût est plus faible dans le privé.
Tederic a écrit:Je ne connais pas en détail le statut des Calandretas,
Tederic a écrit:Au fil des interventions des Patous sur le sujet de la langue, je découvre qu'ils se méfient beaucoup des militants de la langue, et trouvent (je résume à grands traits) leur action vaine, dangeureuse, ridicule... Je suis sur ce sujet en désaccord profond avec eux. Nous en reparlerons, j'espère. On ne peut pas être d'accord sur tout. Je suis un fan du projet "Cap-Brasos", c'est déjà pas mal
Pierre a écrit:Arthur a écrit:La plupart des établissements privés reçoivent quelques subsides.
Les locaux, ce ne sont pas "quelques subsides", c'est une contribution importante. Les établissements privés sous contrat ont déjà le personnel enseignant payé par l'Education Nationale, si en plus on leur fournit les locaux je ne vois plus très bine ce qu'il reste de privé dedans...
Tederic a écrit:Au fil des interventions des Patous sur le sujet de la langue, je découvre qu'ils se méfient beaucoup des militants de la langue, et trouvent (je résume à grands traits) leur action vaine, dangeureuse, ridicule...
Vval a écrit:Neo, metre sur un pied d'égalité le Béarnais et l'Espagnol, comme vous le faites est
très etonnant ou provocant.
Savez vous combien de personnes parlent l'espagnol dans le monde?
Néo a écrit:...des chansons en patois...
Néo a écrit: Vval a écrit:Neo, metre sur un pied d'égalité le Béarnais et l'Espagnol, comme vous le faites est
très etonnant ou provocant.
Savez vous combien de personnes parlent l'espagnol dans le monde?
OK, d'accord, il n'y a pas lieu de mettre le Béarnais et l'Espagnol au même niveau.
Néo a écrit:Les bases de la culture scienfitique, littéraire (dans le sens littérature) (et artistique en général) et économique, l'anglais... cela me paraît beaucoup plus important, et à approfondir pour les jeunes, que le Béarnais ou l'Espagnol... Mais je n'ai rien contre les associations qui essaient de continuer à faire vivre des langues anciennes.
davidoc a écrit:Pourquoi ne pas pouvoir envisager le monde avec des gens multilingues ?
Pourquoi est-il fréquent de rencontrer au sud des Pyrénées des gens qui parlent catalan (ou basque ou galicien)/castillan/italien/français/anglais ? Bien sur pas toutes les langues au même niveau de maitrise mais tout de même.
Plutôt que de vouloir instaurer une graduation entre le l'occitan du béarn et l'espagnol...
Je souhaite seulement vous faire toucher du doigt que nous avons en Béarn la chance d'avoir une autre langue bien vivante en plus du français : l'occitan dans sa variante béarnaise, ...
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