jerlau a écrit:A ce titre il n'hésite pas à écrire que ceux qui ont pris des petites maisons dans des zones pavillionaires à l'abri des regards ont commis une erreur originelle il y a de nombreuses années.
L'erreur est celle des "aménageurs" depuis les trente glorieuses jusqu'à aujourd'hui. Ces zones pavillionnaires périurbaines progressivement intégrées dans le tissu urbain sont des conneries complètes. Quelqu'un a dit qu'elles seraient les bidonvilles du futur, et je pense qu'il n'a pas tort, mais peu importe.
Ceux qui s'y sont installé ou qui s'y installent, je ne dis pas qu'ils ont fait une erreur, mais ils ont fait un choix, avec des avantages et des inconvénients comme tous les choix. Et si on croit à la responsabilité inviduelle (et il me semble que jerlau y croit), chacun doit assumer ses choix. Celui qui s'installe en centre-ville renonce à une certaine tranquillité pour avoir de nombreux services sous la main, et celui qui s'installe en zone pavillonnaire renonce à certains services proches pour avoir de la tranquillité et du terrain.
Je crois que le totalitarisme écologique est bien pire que le totalitarisme à vovation sociale. Folie !
Tout ce qui est excessif est insignifiant.
Même dans les pays les plus libéraux (au sens français), avec des zones pavillonnaires tentaculaires, dans les pays les plus portés sur l'individu et hostiles à tout ce qui évoque le collectivisme, qu'est-on voit dans tout ces pays, et partout ? Des bus. Et qui marchent bien, souvent. Les USA seraient donc dirigés par des terroristes écologiques ?