La pisicine de Billère à Pau !

[LE NAGEUR]

Ci-dessous : un article de Sud Ouest sur la piscine de Billères

Le BTP s'inquiète !

Le Maire de Billères a arrêté un chantier de 5,8 ME pour 13000 habitants, soit près de 1500 E par famille, 5 ANS en moyenne de taxe d'habitation par famille. 5 ans vous avez bien lu !

Un maire lucide, qui préfère perdre la "subvention" de 1,35 ME et payer les 700 000 E de frais pour rien. Bienheureux Billèrois qui avaient un Maire lucide.

Et dans les architectes qui ont participé à ce projet pharamineux, l'adjoint à l'urbanisme de la Municipalité Paloise. On comprend maintenant la manoeuvre du Stade Nautique de Pau. Il faut sauver le BTP.

Dans quelques jours on nous sert la Sauce. PAU fait la pisicine immédiatement pour sauver le BTP ! Budget 5,8 ME PIscine à la limite de Billères et de PAU. On va trouver un coin !

Notre BTP est inimitable.

Par votre faute, Billérois, nous les Palois, on va en être de 5,8 ME. Il faut sauver l'adjoint !

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Le BTP s'inquiète !

BILLÈRE .......
--L'arrêt du chantier de la piscine aura un coût social important, dénoncent les entreprises

Piscine : le BTP s'inquiète
La Fédération départementale du bâtiment et des travaux publics s'inquiète de la décision prise par Jean-Yves Lalanne d'arrêter le chantier de la piscine, auquel il préfère une « restructuration raisonnable » du site. « Le maire a signifié cet arrêt aux entreprises le 26 mars. Et il a rencontré les entrepreneurs pour leur indiquer son souhait de rompre les marchés signés avec les entreprises. Celles-ci, par le biais de leur organisation professionnelle, expriment leur incompréhension et leur désarroi devant cette décision inattendue », explique-t-elle.
« En effet, si la décision politique n'est pas contestée, la réalité économique qui en découle semble avoir été complètement occultée par le nouvel édile ».

« Une quinzaine de salariés ». « Ce chantier de 5,8 millions d'euros était, avant l'oukase du maire, déjà entré dans sa phase active. Il représente des milliers d'heures de travail et devait occuper les salariés d'une quinzaine d'entreprises locales. Cette décision brutale désorganiserait totalement les plannings des attributaires qui devaient intervenir sur le site sur une durée de dix-huit mois. Compte tenu de la conjoncture peu favorable, les entreprises ne pourraient replacer leurs salariés sur d'autres chantiers et seraient donc contraintes d'avoir recours à des mesures de chômage partiel ».
« Outre le coût des opérations préalables déjà engagées pour 700 000 euros, la mairie devrait payer les indemnités de rupture des marchés prévues par la loi, qui devraient avoisiner a minima le même montant. Enfin, l'arrêt du projet impliquerait la perte des subventions allouées pour 1 350 000 euros ».

« Tout le monde serait perdant, estime la fédération, en particulier les habitants qui paieraient pour un outil inutilisable, ainsi que les entreprises et leurs salariés qui devraient assumer le coût social de cette décision unilatérale. Si on peut comprendre les promesses électorales du candidat, on a du mal à suivre les décisions du gestionnaire, qui semble ignorer les principes de la continuité républicaine », ajoute-t-elle. La fédération du BTP annonce donc qu'elle « assistera ses entreprises et leurs salariés devant les juridictions concernées, au cas où aucune solution négociée ne serait trouvée ».

[Maçon en fureur]

Même plus un coin pour se laver ?

[Le Bouffon]

On nage en plein bonheur à Billères...quel Pau ! Cette piscine, une vraie bouée électorale. Une fois dans le grand bain voila le résultat des courses: avant tout le monde avançait la tête sous l'eau, maintenant plus de budget qui plonge et grâce à une assise financière retrouvée, plus de problème de bassin...tout ça tient debout. Oui mais bientôt...la douche froide ?