Après plusieurs années de lourdes dépenses, c'est fini pour le photovoltaïque en Espagne, depuis l'année dernière. En France, les tarifs de rachats ont diminué.
La fête est finie. On s'est bien amusés pendant qqes années à importer des panneaux de Chine pour les installer en France, ce qui permet à certains de faire de bons placements et n'a fait qu'accentuer le déficit commercial avec la Chine.
Quand est-ce qu'on revoit les prix de rachats accordés durant les années précédentes ?
Les panneaux sont encore trop chers pour être raisonnablement diffusés à grande échelle, bien que les autorités françaises aient commencé à le faire. Les nouveaux PV "à couche mince" sont arrivés (cela dit, on ne savait pas si ça allait finalement se produire). Ils sont moins chers et pendant longtemps, pourtant, on a subventionné des panneaux classiques au silicium, pour finalement rien du tout. Ceci conforte l'idée qu'il aurait fallu, à ce stade de développement, investir dans la recherche en Europe plutôt que dans la production en Chine !
Concernant l'éolien, il n'y a plus d'espoir de baisse des coûts.
Par ailleurs, en France, l'éolien n'a fait qu'augmenter la production de CO2 au niveau de la production d'électricité à cause des centrales à gaz qui ont dû être installées pour pallier aux fluctuations.
Restent la géothermie et le solaire thermique, rentables, eux, et qui devraient, de mon point de vue, continuer à être subventionnés.